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il y a 5 ans
Je me suis fait piéger et humilier à cause du plus gros site de selfbondage du monde. Il y a tellement de vidéos, de photos, d’histoires érotiques et de scénarios en plus du forum sur Fessestivites.com que je n’ai pas pu résister à l’envie d’essayer.
Ci-dessous mon histoire
Ma femme étant partie à Londres pour deux jours, J’ai décidé de réaliser mes fantasmes sur la durée. Comme je n’envisage pas de tromper ma femme même si sexuellement elle est plutôt du style « bloquée », la seule solution est donc de m’amuser tout seul et en cachette. J’avoue que ma timidité et la peur de la perdre sont aussi des freins à l’envie d’aller voir une professionnelle ou ailleurs.
J’ai donc commencé par mettre de la lingerie féminine. Je me lançais comme défi d’aller acheter quelque chose avec des sous-vêtements féminins. A mon retour, c’était la fête à Popaul…. A la suite de quoi, j’ai aussi testé la cage de chasteté. Toutes ces photos et vidéos puis histoires érotiques de Fessestivites m’avaient donné envie de tester pour voir. Je n’ai jamais été capable de tenir plus d’une soirée avec la cage. Je me suis donc commandé un coffre électronique sur ABCplaisir pour parvenir à tenir 36 heures. La première fois que j’ai mis les clés dedans, j’ai plus regardé le compteur que les films....
Grâce à lui, j’ai quand même pu découvrir les sensations de frustrations éprouvées puis les sensations physiques. Je n’ai retirée la cage de chasteté qu’une demi-heure avant l’arrivé de l’avion de ma femme à Orly. Cette demi-heure est le temps qu’il me faut pour aller la chercher. J’ai donc été chaste jusqu’au soir où nous avons fait l’amour. J’ai honte de l’avouer, mais ce soir là, je l’imaginais en Maîtresse m’obligeant à lui lécher le chaton en plus des caresses avant de la prendre. Un goujat oui un peu, mais si elle était moins bloquée, je ne l’aurais pas été.
Au fil du temps et de ses voyages professionnels réguliers, je suis devenu bon client chez ABCplaisir. Je fais tout livrer en poste restante par sécurité, ce serait un véritable drame si elle ouvrait un colis à mon nom avec des sextoys. Rien que d’imaginer sa tête avec un plug et des pinces à sein dans les mains, j’ai peur !
Voir des vidéos et photos de mecs attachés en couche m’a aussi titillé. Je trouve que pour humilier un soumis, lui imposer de se faire dessus dans une couche est le top. Internet est mon ami, car aller acheter des couches dans un magasin était pour moi impossible. Là aussi j’ai testé pour voir. Sans un jeu de contrainte, je ne suis jamais parvenu à faire pipi dans la couche.
Pour parvenir à m’obliger à… j’ai donc fait une ceinture de chaîne à mon pantalon et j’ai mis les clés dans le coffre électronique. Là, je n’ai pas eu d’autres choix que de dire « amen » à ma timidité, ma pudeur, ma gêne aussi ! C’est ma vessie qui a gagné un combat qui fut rude, mais à l’impossible nul n’est tenu. Après deux jeux de ce style, comme j’ai bien aimé les sensations, je mets parfois des couches et une culotte en plastique sans faire de selfbondage. Une fois j’ai bien failli me faire piéger. J’avais jeté la couche dans la poubelle (logique) mais rien dessus pour la cacher. Elle aurait pu la voir quand elle a débarrassé la table. OUF !
La problématique du selfbondage, est que c’est comme une d r o g u e. Quand on y a goûté, on a envie de recommencer, de faire de plus en plus long et compliqué. On a envie d’ajouter des choses pour avoir toujours plus de plaisir. Des fois cela fait un peu mal, mais le fantasme aidant, la douleur n’est rien à côté des plaisirs éprouvés.
Pour corser les difficultés, j’ai commencé par additionner les sextoys et les conditions d’auto libération. Des ice-timer ( blog de glace emprisonnant les clés), j’en ai fait des tonnes en plus du coffre électronique contenant les clés de ma cage de chasteté. Pourquoi en faire plusieurs ?
En fait c’est simple et logique. Un exemple :
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Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient les menottes bloquées au lit.
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Un pour les clés des menottes que j’ai dans le dos
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Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient mes chevilles et qui m’empêche de marcher normalement. Quand on a une cagoule et que les clés du cadenas sont dans le garage, le déplacement est amusant. (Surtout quand on a envie d’aller faire pipi...)
ET, quand on est enfin libre, on va voir le coffre électronique qui affiche encore 12 heures d’attente pour pouvoir récupérer les clés de la cage de chasteté.
Au fil du temps, j’ai aussi ajouté des sextoys vibrants. Une paire d’œufs vibrants dans la couche sont attachés à ma cage de chasteté, des fois j’ajoute un plug vibrant derrière par exemple. Vibrer pendant l’attente cruelle est…. Hummm tout comme pendant que vous rampez comme un vers pour aller chercher des clés. Faire pipi couche attaché avec des trucs qui vibrent de partout est bien bon en terme de sensations, je vous recommande d’essayer.
J’ai joué aussi une fois avec le lavement. J’en fais toujours un avant de me mettre des trucs dans les fesses. J’ai lu une histoire érotique de selfbondage sur un mec qui s’était amusé avec ça. Après mon lavement, j’en ai fait un deuxième que je n’ai pas rejeté avant de mettre une couche et de faire un selfbondage. Si la sensation a été énorme quand j’ai craqué en rampant vers les clés, je n’ai pas aimé le résultat !!!! J’ai lu quelques temps plus tard sur le forum qu’il faut en faire plein avant de jouer comme ça, mais je n’ose plus.
LE DRAME DE LA SEMAINE DERNIERE
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Oui chérie, pas de problème, je serai à Orly au point de rendez-vous habituel. Tu m’envoies un texto en partant de Londres s’il y a un retard !
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Promis chéri, en plus, j’ai une surprise pour toi que j’ai trouvé dans un magasin informatique ! M’a répondu ma femme.
Après cet échange téléphonique, l’envie de profiter de ma dernière nuit et journée de liberté me taraudait. C’était son dernier voyage avant l’été, deux mois sans jouer…. : un de vacances + un où elle rentre tous les soirs puisque en août, il ne se passe rien d’important dans le monde de la finance.
Je voulais, avant cette pause, me faire une grosse compilation de délires. Un œuf vibrant dans les fesses en plus de mon dernier plug, une couche sous des sous-vêtements féminins et des collants et, dans la couche, un petit magic wand à pile qui titillerait ma cage de chasteté. Pour jouer un peu sur la douleur/plaisir, j’ai bloqué des pinces à sein dans le soutien-gorge avant de sortir les blocs de glace. Il était 22h30 quand j’ai arrêté de surfer les vidéos de selfbondage de Fessestivites.
Je ne sais pas si c’est la douleur aux tétons qui est la cause de mon erreur, mais c’est en plaçant les blocs de glace que j’ai « « merdé » » grave !!!!!!! Ne voulant pas tricher, je me suis donc pressé en me disant que la douleur allait s’atténuer.
Ci-dessous mon plan :
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Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à attendre couché dans le salon était accroché à la chaîne du pilier. Une fois fondu, j’allais pouvoir ramper.
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Les clés de mes menottes étaient dans la chambre d’amis. Une fois les mains libres, je pourrai chercher celles du cadenas de ma cagoule que j’avais suspendues au lustre du salon.
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Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à garder les pieds liés étaient dans le garage.
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Le cadenas électronique, (ma dernière acquisition) maintenait la chaîne utilisée en guise de ceinture à mon short. Même libre, j’allais devoir attendre presque mon heure de départ pour pouvoir retirer la couche et prendre une douche.
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Les clés de ma cage de chasteté étaient dans le coffre électronique, il ne s’ouvrirait qu’à l’heure de départ pour aller à l’aéroport.
Le plan était long et compliqué certes mais allait être grisant. Je pensais m’offrir trois heures de délire pour parvenir à me libérer de tout sauf de la couche et de la cage dans la dernière ligne droite c'est-à-dire midi.
Au début, grisant cela l’a été. J’ai du jouir dans ma cage de chasteté tant c’était fort quand j’ai fait pipi dans la couche avec le magic wand qui vibrait contre elle. Les vibrations de l’œuf dans mes fesses en même temps que les contractions sur le plug, sont sûrement la cause de cette jouissance qui m’a terrassé.
Le problème est que les sextoys n’ont pas d’intelligence artificielle ! Les vibrations ne se sont pas arrêtées et les pinces sur mes tétons sont restées en place après ma jouissance titanesque qui a généré des contractions et des spasmes pendant longtemps.
Tout cela commençait à devenir douloureux. J’ai donc envoyé les mains vers le glaçon, il n’avait pas fini de fondre. GRRRR. En me gelant les doigts, j’ai réussi à diminuer son temps de fonte. J’ai galéré un moment pour essayer d’ouvrir le cadenas de la chaîne. Impossible de faire rentrer les clés dans la serrure.
L’HORREUR
Après une heure de vaines tentatives j’ai compris mon erreur. Ce n’étaient pas les clés de ce cadenas. Elles étaient beaucoup trop grosses ! ! ! ! La première chose que j’ai fait, c’est de tirer sur mes entraves comme un malade. Sauf que les chaînes, c’est du solide et à part me faire mal, je ne suis arrivé à rien.
J’en ai pleuré de rage en pensant que tôt ou tard ma femme allait me découvrir attaché, féminisé et en couche avec tous mes délires. Ce fut bien pire !
Je commençais à avoir froid et mes tétons me faisaient payer le fait que cela durait trop longtemps et qu’à chaque mouvement, je les écrasais. Mes tentatives d’auto libération étant vaines, j’ai essayé de trouver une position qui ne soient pas trop inconfortable. Le froid cela donne envie d’uriner, je n’ai jamais autant pissé que cette nuit là. Si je n’ai pas vu le soleil se lever à cause de la cagoule, j’ai bien senti à la température ambiante que l’heure de ma condamnation avançait.
Quand j’ai entendu comme le glas, le bip du cadenas électronique maintenant mon short au dessus de ma couche, j’ai pu savoir l’heure. Il était 11 heures 30. Normalement, à cette heure, j’aurai du être libre, avoir déjeuné et être en train de prendre ma douche. Au lieu de ça, j’attendais couché par terre dans le salon sans rien pouvoir faire d’autre que de maudire ce putain de site fessestivites qui donne trop d’idées et d’envies. J’ai aussi maudit ABCplaisir car leurs menottes sont de trop bonne qualité.
Une bonne heure plus tard, mon téléphone portable a sonné plusieurs fois ainsi que le téléphone fixe. Même si j’avais une cagoule d’isolation BDSM d’ABCplaisir sur la tête, je savais qui s’acharnait ainsi pour me joindre.
……………………… ;
En désespoir de cause, Lisa a contacté son frère qui est un psychiatre aussi fou que ses patients. Pour ma femme, il ne pouvait que m’être arrivé un accident. Le docteur Maboule (c’est le surnom que je lui ai donné) a donc fait sauter sa pause déjeuner pour aller la chercher et la ramener à la maison.
Elle s’est mise à hurler quand elle m’a vu. Elle s’est précipitée sur moi pour me serrer dans ses bras. (en écrasant mes pinces à sein) Elle a incendié son frère qui ne faisait rien. (Même à travers la cagoule j’entendais tout) Elle a essayé de me libérer en vain. Elle a incendié son frère qui était plié de rire.
Les cris de ma femme se sont arrêtés presque d’un seul coup. Le docteur Maboule parlait et rigolait. Il n’avait trouvé pas très logique que des clés soient accrochées au lustre du salon ainsi que ma tenue un peu particulière. C’est lui qui a testé les clés qu’il avait trouvées sur tous mes cadenas et qui m’a retiré ma cagoule.
Le docteur Maboule a alors expliqué à ma femme ce qu’il m’arrivait réellement. A son cabinet, les patients lui racontent beaucoup de choses. Les explications de cet abruti ont été très médicales version psy démonté par trois boites de valium. J’ai du lui dire où se trouvaient les autres clés pour qu’il puisse me libérer, cette question a été la première dés plus gênantes.
Alors qu’il me libérait et que ma femme pleurait, le docteur Maboule a continué de commenter les fétichismes et mes jeux comme pour la rassurer. Je doute que cela l’ai convaincue mais ce que je peux affirmer c’est que Freud à côté de lui ne devait être qu’un débutant. Tout y est passé ! Mon besoin de me féminiser, cette part de féminité cachée qui .... puis la couche en référence à un soi-disant traumatisme de mon e n f a n c e.
Lisa ne pleurait plus, mais au fur et à mesure des savantes explications, son visage se décomposait. Elle semblait me prendre pour un extraterrestre ou un grand malade bon pour la camisole. Comment ai-je pu vivre avec lui dix ans et me rendre compte de rien ? Fut une de ses questions récurrentes.
Le docteur Maboule s’est excusé de ne pas pouvoir ouvrir le coffre électronique posé sur le bureau du salon et de ne pas savoir à quoi correspondait les clés qui étaient à l’intérieur. J’étais encore féminisé, en couche assis par terre et très mal à l’aise. J’ai alors répondu « joker » en pensant que cela suffirait.
Lisa ne l’a pas entendu comme ça, elle s’est levée pour venir me secouer comme une malade en criant que je devais tout avouer et qu’au point où elle en était, plus rien ne l’étonnerait dans mes débilités.
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C’est pour ne jamais te tromper ma chérie !
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Tu te fous de ma gueule en plus ? A hurlé Lisa en m’envoyant une gifle d’une puissance que je ne lui connaissais pas.
Le docteur Maboule est intervenu sans tarder pour attraper sa soeur bien décidée à passer ses nerfs sur moi. C’est là que je leur ai annoncé que je portais effectivement une cage de chasteté par amour de ma femme. Il y a eu un gros blanc et un gros mensonge.
Je lui ai expliqué que j’avais d’énormes envies sexuelles et que, pour ne pas me masturber en son absence, j’enfermais les clés de ma cage de chasteté dans un coffre électronique. Elle y a cru et le docteur Maboule aussi MDR. Il a même ajouté encore une fois sa science sur les besoins sexuels différents des hommes que certains cherchaient à contenir.
Le « frèro Maboule » rassuré nous a laissé régler cette histoire privée et intime (tu parles) pour retourner à son cabinet. je suis sûr qu’il est allé consulter un de ses confrères pour se remettre de cette aventure et qu’il a envie d’essayer tout ça si ce n’est pas déjà fait !
Lise, qui d’habitude est « coincée du cul » a tenu à m’accompagner à la salle de bain. Après dix ans de mariage, dans le couple la pudeur c’est, en principe, envolée. Sauf que là, j’étais très gêné. C’est donc devant ma femme que j’ai retiré le soutien-gorge en premier, ils n’avaient pas vu les pinces à sein. En me voyant souffrir comme jamais, elle a rigolé. Je peux vous affirmer que porter des pinces à sein douze heures, quand on les retire, les yeux coulent même si on n’est pas une mauviette.
Quand j’ai retiré les collants féminins, elle était aussi amusée et n’a pu se retenir de me dire que j’étais très belle comme ça. Lorsque j’ai retiré la couche, elle n’a pas aimé l’odeur mais elle est restée pour voir la cage de chasteté. Et là, elle a découvert les oeufs vibrants et le plug vibrant que j’avais dans les fesses. Son premier geste a été de mettre sa main devant sa bouche en me regardant comme si j’arrivais de la planète Mars.
Lisa m’a ordonné de retirer tout ça puis de me doucher et de rester nu pour aller la rejoindre. Si la douche fut salutaire à mon corps, tout comme un passage aux toilettes, dans ma tête je m’attendais à une demande de divorce ou à une obligation de soins psychiatriques ou les deux. Connaissant ma femme qui est connue pour avoir une main de fer dans les agences bancaires qu’elle dirige, puis aussi un peu à la maison, je ne savais pas à quoi m’attendre mais la discussion à venir ne pouvait pas bien se passer. C’est donc comme un gamin pris en flagrant délit et nu comme un vers que je me suis rendu au salon voir « la commandante ».
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Mets-toi à genoux devant moi ! M’a ordonné Lisa à mon arrivée.
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Pardon ?
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Tu as très bien entendu. Alors si tu ne veux pas que je demande le divorce en expliquant, bien sûr, les motifs à ta famille, il est préférable pour toi de jouer profil bas. Malgré les informations scientifiques de mon frère, il y a un certain nombre de choses que je viens de comprendre toute seule. Tu rêves d’être soumis et que je sois ta Maîtresse. J’aurai du me méfier quand, il y a quelques années, tu m’as parlée de ces fantasmes et délires, quand tu voulais m’attacher pour faire l’amour. En fait, tu voulais me donner envie de le faire sur toi. Vrai ou faux ?
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C’est vrai chérie que j’ai quelques fantasmes.
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QUELQUES ? M’a répondu Lisa en criant ! Alors tu vas tout me raconter de A à Z de ce qu’il t’est arrivé aujourd’hui en détail. Je veux vraiment tout savoir et que tu ne me caches rien.
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C’est très gênant chérie !
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Découvrir avec mon frère, mon mari attaché habillé en femme avec une couche et d’autres bricoles n’est pas gênant pour moi ?
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Si, j’en conviens et je m’excuse chérie. Pardonne-moi s’il te plait.
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Raconte-moi tout et arrête de m’appeler chérie, pour le moment ta chérie elle a envie de te mettre des baffes et de divorcer.
Aux pieds du mur, ou plutôt, ceux de ma femme qui avait l’air aussi aimable que le mur de Berlin en pleine guerre froide, j’ai donc dévoiler presque tous mes fantasmes et petits délires. Je lui ai expliqué que le selfbondage avait été une alternative pour moi, me permettant d’assouvir mes envies sans jamais la tromper comme font souvent d’autres hommes moins respectueux.
- Ah, tu as des informations aussi sur ça en plus de toutes tes idées aussi farfelues les unes que les autres ? Et tu sais ça comment ?
Et « Mer... » j’avais trop parlé. Je lui ai donc parlé de Fessestivites où j’avais vu des annonces de mecs cherchant à jouer en toute discrétion. Elle a voulu voir le site et que je me connecte avec mon pseudo. La première chose qu’elle a regardé ce sont mes messages privés. Comme il n’y en avait pas, elle m’a demandé si je les avais effacés. Ma réponse a été simple et convaincante : « comment aurais-je pu le faire en étant attaché » ?
Lisa a consulté l’historique de mon navigateur, puis demandé de lui faire un thé pendant qu’elle étudiait « tout ça ». Ma demande de me vêtir a été refusée, elle me trouvait bien à poil et se moquait royalement que je sois gêné. A mon retour avec son thé, elle m’a envoyé préparer le repas du soir. En clair, elle voulait surfer en paix.
- Met du champagne au frais ! M’a crié ma femme.
Alors que je mettais les petits plats dans les grands, que j’essayais de faire le meilleur des dînés que je n’avais jamais préparé, j’ai eu l’impression d’être observé. Lorsque je me suis retourné, j’ai vu ma femme appuyée contre le chambranle de la porte en train de fumer une cigarette, chose rare. Son regard amusé m’a à peine rassuré.
- Tu sais chéri, que tu as une femme qui est peut-être prête à écouter tes fantasmes sans les juger ? M’a lancé Lisa comme ça, comme si cette conversation était tout à fait normale avant d’ajouter que le tablier de cuisine mettait bien mes fesses en valeur.
Et là, elle a attrapé le tablier de cuisine et me l’a mis en me disant de nous servir le champagne et de la rejoindre lorsque mon plat serait dans le four. Autant dire que je me suis posé des milliers de questions. Brûlant d’impatience, je n’ai pas tardé à servir le champagne même s’il n’était que 17 heures. Vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur du bureau, elle a attrapé sa flûte en me disant « trinquons à notre nouvelle vie ».
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Bon, par où commencer ? Disons que sur l’ordinateur j’ai compris à tes surfs que tu ne cherchais pas à me tromper. La fonction recherche sur les forums m’a permise de découvrir que, d’après toi, les soumis avaient beaucoup de chance d’être malmenés par leurs Maîtresses. Que les Keyholder, mot nouveau pour moi, étaient considérées comme des reines et que tu en rêves. A partir de ce soir, je vais donc être une reine à tes yeux et garder les clés de ta cage de chasteté.
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Chérie, tu sais, entre les écrits fantasmagoriques et la réalité, les internautes écrivent...
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Ne me coupe pas la parole. Ce que je n’ai pas aimé lire DU TOUT, c’est que tu estimes que je suis une femme coincée et en plus, tu oses le dire à tout le monde sur ce putain de site ! Nonobstant le respect que tu me dois et la discrétion qui sied à mes fonctions professionnelles, tu oses également me décrire physiquement dans une de tes histoires érotiques en indiquant « ma banquière » est sévère. Ah tu rêves que je sois sévère, cela ne va pas être un problème, nous allons commencer par un mois de chasteté.
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Chérie, un mois c’est énorme, je ne tiendrai jamais !
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Mais si, il y en a qui sont chastes bien plus longtemps. Va me chercher tous tes jouets, j’ai bien dit tous, si tu en oublies ne serait-ce qu’un et que je le découvre, ce sera deux mois de chasteté. File !
Toujours à poil, hormis le tablier de cuisine, je suis donc parti chercher mes accessoires bricolés, mes sextoys et mes couches puis ma culotte en plastique avec les deux autres paires de collants. Dans ma tête c’était Hiroshima.
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Il manque le soutien-gorge ! A crié ma femme quand j’ai tout posé par terre.
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Il est dans le panier à linge ! Me suis-je excusé.
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Ma flûte de champagne est vide, est-ce normal ?
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Non chérie, je vais de suite en chercher.
A mon retour, Lisa m’attendait toujours vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur sans culotte et jambes écartées. Elle testait le petit magic wand et semblait le trouver à son goût. Mon coeur s’est emballé y compris dans ma cage de chasteté !
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Mais c’est bon ce truc ! Pourquoi ne m’en as tu pas parlé ?
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Je n’ai pas osé !
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Tu voulais le garder pour toi avoue ! Allez, fait-toi pardonner, j’ai envie de ta langue là ! M’a indiqué ma femme en désignant son intimité.
Jamais je n’aurai cru ma femme capable de cette attitude. Je la croyais coincée et là, elle se masturbais sous mes yeux. D’un claquement de doigts, elle a réitéré son ordre de lécher son intimité. Je me suis donc agenouillé pour oeuvrer comme demandé, en étant très gêné même si j’avais rêvé de cette situation. J’avais mon sexe sous cage de chasteté et ma langue jouait les phallus pendant que juste sous mes yeux, elle titillait son clitoris avec le magic wand massager.
Lisa a pris un pied d’enfer en plaquant ma tête contre son intimité chahutée et parfumée par son excitation qui me semblait démesurée. Comment se pouvait-il qu’elle s’éclate alors que pour moi, notre couple était sur la sellette. J’avais souvent rêvé de cette situation et là, elle ne me faisait rien, je n’avais aucune excitation.
- Humm, c’était bien bon, va me faire couler un bain, j’ai vraiment besoin de me détendre. Ensuite tu mettras la table avec des bougies. Nous allons fêter notre nouvelle vie.
EPILOGUE
Lisa est devenue gynarchiste, elle m’aime toujours autant mais autrement. Personne ne sait rien de notre vie, extérieurement, rien n’est affiché. Elle n’a pas souhaité que je l’appelle Maîtresse. Je suis sous cage de chasteté 24/24 sauf pendant les vacances ou quand Madame a des envies. Le côté ABDL ne la branche pas du tout, sauf la nuit.
Il faut que je vous parle de mes nuits !
Quand Madame a des envies, soit elle se fait brouter le minou ou me laisse la prendre, c’est aléatoire. Par contre, nous faisons chambre à part à cause de mes ronflements. Elle a instauré un rituel que nous fassions câlin ou pas. Tous les soirs sans exception, je dois aller me coucher dans la chambre d’amis où les entraves sont installées à demeure. Je dois me mettre en couche et m’entraver pour la nuit. C’est Lisa qui vient me libérer ou, le week-end, qui pose le cadenas électronique en calant l’heure de son petit déjeuner au lit.
Moi je vous le dis, nos femmes ne sont pas aussi prudes que nous le pensons !
TSM
NOTE DE L’AUTEUR
Ce récit est une oeuvre de pure fiction. Par conséquent toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.
Un site français dédié au selfbondage
Pour discuter entre adepte du selfbondage rendez-vous sur le forum de Fessestivites ICI
Très beau récit, imaginaire mais au combien réel..! |
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